Mais Harold est trop fragile pour être désentubé pendant le week-end et puis les sédatifs font encore leur oeuvre.
Il présente aussi un problème de coagulation du sang qui nécessite plusieurs transfusions sanguines.
En parallèle, la ponction lombaire démontre qu’il souffre d’une ménigite, ce qui signifie que l’infection n’a pas épargné son cerveau.
Patience est le maître mot pendant ses deux interminables journées; mais en réalité nous péchons plus par impuissance…
2 réflexions sur « Une renaissance – Part III »
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Oui, une insoutenable impuissance, juste des de fortes pensées positives pour ce petit bonhomme devenu guerrier par la force des choses. Je t’ai fait des promesses harold de choses que l’on fera ensemble, j’espère pouvoir les tenir en bonne tata que je suis ! 😉
Bravo à toi Haroldino et bravo à tes parents et grand frère pour leur soutien et leur amour.
Harold le bien nommé
Qui eut cru que tu aurais à mener si tôt ton premier combat contre une maladie des plus redoutables? Tu n’aurais pas vaincu si tu n’avais bénéficié de la présence d’esprit de tes parents, d’un service d’urgence compétent et performant puis des paroles incessantes d’encouragement et d’assurance à tes côtés. Ils ont été formidables et n’ont pas cessé de croire que tu allais t’en sortir. Grâce aussi au soutien des pensées et d’amour d’une multitude de gens tu étais armé de la plus grande force qui soit dans la vie : celle de se savoir aimé et de n’être jamais seul dans l’épreuve. Voilà pourquoi dans les traductions de ton prénom je choisis celle qui signifie : « chef des armées » , car c’est bien à la tête de toute une armée de combattants que la maladie a été vaincue. Tu as encore a te remettre d’un tel combat mais ne te décourages pas tu vas y arriver avec l’aide de tous. Je t’aime cher petit Harold qui a révélé le meilleur de nous.