Une renaissance – Part II

Nous ne sommes pas grand-chose sans l’amour de nos proches. Pour qui doutait de l’affection des siens, une telle épreuve annihile toute interrogation.
Famille, parents, amis nous ont tous témoigné leur soutien. Il y a ceux qui prient, ceux qui nous envoient tous leurs flux positifs, dont nous sommes encore habités, ceux qui nous serrent dans leurs bras…
Le vendredi soir nous apprenons qu’Harold, aidé des antibiotiques, a vaincu la maladie et nous sommes aussi certains que tout cet élan d’amour autour de lui n’est pas étranger à sa guérison.
Ce soir-là c’est le soulagement qui domine mais aussi l’illusion qu’Harold est complètement tiré d’affaire. Nous avons hâte qu’il sorte du coma, qu’il puisse respirer normalement, qu’il revienne à la maison et que la vie reprenne tout simplement son cours.

2 réflexions sur « Une renaissance – Part II »

  1. Merci mon petit Harold pour ton combat acharné. Merci à tes parents qui ont veillé sur toi sans relâche. Merci à notre médecine de science-fiction. Merci à cette puissance divine que certains ont pu prier.

    Nous pouvons maintenant continuer à croire que l’amour est plus fort.
    Et tu vas encore nous apprendre tellement.

  2. Et c’est dans de telles epreuves qu’on connait mieux ses proches aussi… Isaure ma « petite » soeur, celle que grand-père appelait la Fontaine de Vaucluse, tu m’as impressionné par ta force, ton optimisme, ton courage. Voilà c’était un petit message de soeur à soeur!
    Heureusement depuis que vous avez écrit ces lignes il y a eu des bonnes nouvelles, j’ai eu la chance de voir harold a la sortie de l’hopital : il est toujours aussi craquant, il sourit, rit, remue ses bras et jambes, et on a tous plein d’espoir pour la suite (l’élan d’amour autour de lui ne s’est pas éteint et je sais que beaucoup de monde continue encore a penser à lui tout le temps).
    Je vous embrasse tous les 4

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