Dés qu’il se passe quelque chose, ou même rien du tout, dans sa petite vie (mal) rangée, Théodore est sur le qui-vive. Prenons par exemple l’arrivée d’une nouvelle boxe à installer : Théodore ne va pas lâcher d’une semelle son père, obligeant ce dernier à inventer tout un tas de stratagèmes pour occuper les petites mains fouineuses. Et c’est un peu la même difficulté quand il s’agit de lui donner l’impression qu’il prend part à la confection d’un repas. Parce qu’à 3 ans leur curiosité n’a d’égale que leur maladresse… alors il faut garder en tête le dicton : « on peut toujours faire en une heure ce qu’on aurait pu faire en 3 minutes » Et ne jamais s’emporter quand le contenu du saladier valdingue ou que les pieds s’emmêlent dans les installations électriques…
2 réflexions sur « L’envahisseur »
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Bon, cette fois, c’est vraiment décidé. Je fais tout à la place de papa et maman pour les aider. Je trouve que mes parents vieillissent et il est temps qu’ils passent le flambeau.
Apprendre, apprendre, quel enthousiasme. J’aime beaucoup votre adage : « on peut toujours faire en une heure… » Les enfants ont la grande vertu de nous apprendre la patience entre autre.