Théodore adore Harold. Quand il rentre de la crèche, il réclame son frère et le matin au réveil, il s’inquiète de savoir où il est. Il s’assure en permanence qu’Harold ait bien son doudou et si ce n’est pas le cas, il se précipitera pour le lui donner (un smash puissant dans la figure !).
En général, Théodore montre son affection pour son frère en lui faisant des caresses sur la tète, caresse qui s’apparentent plus à des massages thaïlandais d’ailleurs, mais Harold ne bronche pas. Sinon Théodore couvre son frère de bisous et aime le porter de temps en temps, opération délicate qui nous effraie un peu. Autant Théodore sert son petit frère très fort, autant il peut le lâcher à tout instant.
Théodore déteste que son frère pleure. Ca le perturbe beaucoup et lui crie « PLEURE PAS HAROLD ». On sent que ça l’affecte vraiment alors nous essayons de lui expliquer que les pleurs d’un bébé ne sont pas forcement synonymes de tristesse ou de douleur. Ce sur quoi Théodore nous rétorque : « Peut-on grandir sans souffrir ? » (non j’déconne)
Cocon familial voudrait dire pour moi le petit dernier, un havre de paix et de tranquillité. Tu parles , avec mon grand frère qui me crie dans les oreilles et qui me tape dessus avec mon nounours dès que j’ai le malheur de l’avoir fait tomber. Bonpa m’a dit ce WE que ce n’était pas facile d’être le second mais qu’il y avait des avantages. Pour l’instant j’ai rien vu.